Le langage silencieux de nos sens
À notre insu, notre corps serait capable de percevoir les prémices du grand passage. Non pas de manière angoissante, mais comme une perception subtile que nos sens enregistrent avant même que notre conscience ne la conceptualise. Une légère altération de l’air ambiant, une sensation cutanée inhabituelle, une odeur indéfinissable… et notre psyché bascule doucement vers un état de recueillement, de sérénité, parfois même de paix intérieure.
Notre nez est un messager bien plus éloquent qu’on ne l’imagine. Il capte les métamorphoses, réveille les souvenirs enfouis… et peut-être aussi, accompagne les ultimes transitions.